EDICIONES DULCINEAS PUBLICA EN QUÉBEC-CANADA "LA MONTAÑA" DEL ILUSTRE POETA ECUATORIANO: HORACIO HIDROVO. (esp./ fr.)

 "LA  MONTAÑA"  DE  HORACIO 

La soledad se parece a un anciano/ asomado al ocaso./ He visto morir las redes junto al  mar nos dice Horacio Hidrovo Peñaherrera en su bello poemario “La Montaña” .

Desde esta perspectiva, con un lenguaje pintoresco marcado por su angustia relativa al tiempo y a la soledad, el poeta nos invita a descubrir el alma de su montaña, que, al igual que La montaña de Gao Xingjian (premio Nóbel), Horacio nos deja tan impresionados y extasiados como aquél.

A lo largo de su peregrinaje, el hombre se apoya en su bastón de recuerdos, es así como el poeta nos cuenta con vehemencia el idilio con su montaña amada. Desde que era joven Horacio ya se identificaba a su montaña, él, creció a su lado, corrió, saltó, la exploró y también se reposó muchas veces en su regazo, escuchando muy de cerca los latidos de su corazón. Estos dos seres fundieron sus almas para convertirse en una sola mente universal.                                                                                                                                  

Horacio hace de su montaña un santuario metafórico donde cada uno debe ir a beber el cáliz de la vida. Mismo si con el tiempo todas las montañas desaparecerán de la faz de la tierra, el autor nos promete con sus armas de poetas: cosecharé una nueva montaña./  Buscaré los árboles del cielo,/ las vertientes que bajan de los astros,/ las aves que despiertan los puertos de la luna.

Horacio ha encontrado en la búsqueda de su exploración interior, soluciones a lo que es nefasto para nuestro mundo, así podremos siempre dirigirnos a lo universal del alma y contar con los recursos del potencial humano, lo más puro, su esencia y tratar de modificar el curso del destino.

En este poemario lo individual se conjuga con lo universal de la naturaleza, generando una energía cósmica, la que le ha permitido al poeta crear lo sublime, traducido en  su poemario La Montaña, verdadera joya de la literatura universal.

Horacio Hidrovo Peñaherrera, inaugura la colección “Los Ilustresde Ediciones Dulcineas, versión francesa, con esta ilustración de su arte poética.

En esta oportunidad la casa de ediciones abre fronteras a fin de permitir a los autores ecuatorianos y latinoamericanos mostrar al mundo la calidad de sus obras y la belleza de su alma.

EDICIONES DULCINEAS
Directora: Cecilia Zevallos Petroni
Telf: (819) 370- 6723
QUÉBEC-CANADA


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"LA MONTAGNE"  DE  HORACIO



La solitude est comme un vieillard/ admirant son coucher de soleil. / J'ai vu mourir les filets sur le bord de la mer, nous dit Horacio Hidrovo Peñaherrera dans son beau récit LA MONTAGNE.

De sa perspective, avec son langage pittoresque teinté par ses angoisses relatives au temps et à la solitude, le poète nous invite à découvrir l'âme de sa montagne qui, à l'instar de la montagne de Gao Xingjian (prix Nobel) nous impressionne au plus haut point.
 
Tout au long de son pèlerinage sur le chemin de la vie, l'homme s'appuie sur la canne de ses souvenirs. Horacio nous raconte avec passion son idylle avec sa montagne tant aimée.
Il en est amoureux depuis son plus jeune âge. Il a grandi à ses côtés, a couru, sauté, exploré, puis sest reposé contre sa poitrine en écoutant les battements de son cœur. Ils se sont étreints pour ne faire plus qu'un.

Un vent de verdure a bercé leurs rêves, leurs illusions, et leurs espérances, car la montagne aussi possède la vie. Un souffle divin l'habite.

Horacio grandit ainsi, jusqu'à cet instant sublime où, dun bond gigantesque, il gravit sa montagne, pour en atteindre le sommet. Cette conquête donne au poète son trésor le plus précieux : la liberté.Pour vivre il faut s'accrocher/ aux trapèzes de l'espoir. Lauteur souligne combien nous marquent les expériences douloureuses  de la vie.  Il faut faire attention, car: la ville nous appelle / avec ses pièges invisibles.

Puis le poète dénonce: l'homme de la ville, / est un fou domestiqué, qui scelle lui-même les barreaux de la prison de sa conscience et finit par s'imposer son propre châtiment.Aujourd'hui la montagne est là / entre l'offre et la demande. / Loin des astres.
L'auteur nous prévient avec un réalisme tangible: Les nouveaux enfants/ ne pourront plus grimper sur la montagne, / leurs mains ne pourront plus s'agripper à l'écorce des arbres, / pas plus qu'ils n'entendront monter la sève/ et n'assisteront à la naissance des rivières.

Horacio érige sa montagne en un sanctuaire métaphorique, où chacun devrait aller boire au calice de la vie. Même si avec le temps toutes les montagnes devaient disparaître de la surface de la terre, l'auteur nous promet, avec ses armes de poète:
moi je m'inventerai une nouvelle montagne/j'irai chercher les arbres du ciel, / les ruisseaux qui dévalent des astres/ les oiseaux qui sonnent le réveil au creux des ports.

Horacio a trouvé au gré de son exploration intérieure des solutions à ce qui est néfaste pour notre monde. On peut toujours s'adresser à l'universel de l'âme, compter sur l'infini ressource du potentiel pur de l
homme, et tenter de modifier le cours du destin.
Dans ce poème, l'individuel se conjugue à l'universel de la nature, générant une énergie qui libère la créativité de l'auteur et lui permet de créer le sublime.


ÉDITIONS DULCINEAS
Directrice: Cecilia Zevallos Petroni
Tel. (819) 370- 6723
QUÉBEC-CANADA

Comentarios

  1. Que maravilla lo que haces.
    Me alegra tanto por Horacio, recibe toda mi admiración.
    Un abrazo enorme.

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    1. Mil gracias Wilma, por tu comentario. Otro abrazo muy grande hasta tu casita.

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Muchas gracias a todos los Quijotes y Dulcineas por dejarme vuestros comentarios. Perdonen si no puedo responderles individualmente pero quiero que sepan que cada uno me deja un átomo radiante de luz que nutre a mi alma.
Ceciely